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Que vivent les ingénieurs chrétiens qui contribuent à façonner l’IA ?

Beaucoup de jeunes travailleurs du monde technologique ont du mal à vivre leur foi dans ce secteur aux enjeux colossaux.

A photo of a tech engineer with blue lighting

Christianity Today August 20, 2025
All photographs from The Haunting of Verdant Valley, a photo book by Stephen Voss about the hidden toil of Silicon Valley. Used with permission.

L’intelligence artificielle engendre de nombreux dilemmes éthiques. Spécialiste en mathématiques appliquées chez OpenIA, Brydon Eastman se demandait quoi faire : se taire et protéger son emploi, ou s’exprimer et risquer de perdre son poste dans cette entreprise de pointe en matière d’intelligence artificielle ?

Eastman, 33 ans, avait commencé à travailler chez OpenAI en 2022, quelques semaines avant le lancement de son célèbre application ChatGPT. Comme bon nombre d’entreprises de la Silicon Valley, le bureau de San Francisco où il était basé disposait de salles de sieste. L’une des manières d’encourager les employés à faire de longues heures qui n’ont pas cessé de s’allonger avec le succès et la croissance fulgurante de ChatGPT.

Tenaillé par son dilemme, c’est dans une de ces salles de sieste qu’Eastman s’est rendu. Après avoir éteint les lumières, il a passé une heure et demie dans la prière. Au sortir de ce moment, il avait reçu une conviction claire de Dieu : son questionnement méritait d’être abordé. Il publia donc ses réflexions sur Slack, la plateforme de communication de l’entreprise. Tous les employés pourraient ainsi les lire. Il craignait d’être licencié, ce qui lui aurait probablement coûté ses actions dans l’entreprise et beaucoup d’argent. Mais c’était pour lui la bonne décision à prendre.

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C’était cela « suivre Jésus », estime-t-il a posteriori. Son intervention « a amené plusieurs personnes à changer certaines décisions », affirme-t-il. « Et en définitive, tout s’est bien passé. » Eastman a récemment quitté OpenAI pour créer une nouvelle entreprise, Thinking Machines, qui lui permet de travailler sur des projets avec lesquels il se sent plus « en phase philosophiquement ».

Tout emploi peut présenter des dilemmes éthiques, mais les ingénieurs qui travaillent dans le domaine de l’IA sont au cœur d’une vague sans précédent d’innovations technologiques. Non seulement celles-ci modifient la manière dont les ordinateurs et les humains interagissent entre eux, mais elles entrainent une telle accélération des investissements dans ce domaine que l’on peut parler d’une véritable « ruée vers l’or ».

Nous avons recueilli le témoignage d’ingénieurs chrétiens âgés de 20 à 30 ans qui se retrouvent emportés par le courant des progrès de l’IA et luttent pour ne pas perdre pied.

Inlassablement, ces employés développent des expériences mathématiques, écrivent des codes informatiques, gèrent des « étiqueteurs de données », ces personnes qui annotent et classent les données utilisées par les modèles d’IA, et réagissent en temps réel à l’explosion du nombre de nouvelles recherches. En concevant des machines supposées diminuer le temps de travail des autres, ces ingénieurs font paradoxalement de plus en plus d’heures et ont souvent l’impression de ne pas avoir le temps de s’arrêter sur les problèmes importants qui se posent. Ils n’ont pas le temps de prier pour ces choses essentielles et disent également manquer de mentors chrétiens pour les aider à naviguer dans les eaux tumultueuses de l’IA.

Depuis le lancement de ChatGPT, le poids de cette industrie a explosé. Nvidia, un fabricant de puces utilisées dans ce domaine, a vu sa valeur monter en flèche pour atteindre plus de 2500 milliards d’euros l’année dernière, ce qui en fait l’une des plus grandes entreprises au monde. Puis, début 2025, le nouveau venu chinois DeepSeek bouleversait le marché, dévoilant un modèle moins cher et plus efficace que ceux des entreprises technologiques américaines.

Alors que l’IA progresse à un rythme toujours plus rapide, les ingénieurs se sentent souvent impuissants à ralentir la marche. « Même si j’étais convaincu à 100 % que notre espèce ne devrait pas développer l’IA, je ne pourrais en aucun cas l’arrêter à titre individuel », nous dit Eastman. « Nous travaillons à cette invention depuis des centaines d’années. »

Dans le passé, la plupart des avancées technologiques progressaient suffisamment lentement pour que les humains puissent faire preuve de discernement à leur sujet, explique Mike Langford, théologien à l’université Seattle Pacific et spécialisé dans l’intersection entre théologie et technologie. Mais les progrès de l’IA se sont produits « si rapidement que nous n’avons pas eu le temps de développer une sagesse sur la manière de l’utiliser ».

Avec ce nouveau saut technologique, ces ingénieurs chrétiens spécialisés dans l’IA pourraient créer des outils éthiques et efficaces pour façonner nos vies d’une manière qui nous est encore inimaginable. Ce sont d’excellents mathématiciens, programmeurs et penseurs créatifs, et ils rejoignent les plus grandes entreprises technologiques avec un cadre de référence moral tiré de leur foi. Ils pourraient aider leurs puissants employeurs à donner la priorité à la confidentialité des données, à coder des algorithmes équitables et à traiter de manière juste les personnes qui travaillent derrière les systèmes. Mais ils ont besoin de soutien. Ils ont besoin d’être guidés. Ils ont besoin de repos. Car, dans la Silicon Valley, règne un sentiment de désespoir. On nous y a confié que les ingénieurs s’y disputent un petit nombre d’emplois, craignant sans cesse la prochaine vague de licenciements. La crainte que la bulle de l’IA n’éclate soudain plane également.

Lorsqu’il a commencé à travailler dans l’ingénierie de l’IA il y a quelques années, David Kucher, 26 ans, disait qu’il « avait l’impression de devoir faire ses preuves à chaque instant ». Il sentait « des attentes de plus en plus élevées ».

Eastman, de son côté, n’est pas entré dans ce secteur pour participer à une ruée vers l’or. Il a commencé sa carrière en recherchant comment les mathématiques de l’IA pouvaient aider à traiter le cancer. Il disposait d’excellentes références, notamment un « nombre d’Erdős fini » de 3, signifiant qu’il n’était qu’à trois degrés d’une publication avec le célèbre mathématicien Paul Erdős, un sujet de fierté dans le domaine.

Mais la recherche ne devait pas être sa voie et, une bourse postdoctorale lui ayant été refusée, Eastman est recruté par OpenAI. Il commence alors à former des machines. Un modèle linguistique qui sert, par exemple, de base à ChatGPT nécessite des mois de formation. Eastman, lui, travaillera dans la post-formation, menant des expériences mathématiques pour prouver que le modèle implémenté peut accomplir certaines tâches spécifiques.

Les post-formateurs renforcent et affinent les modèles linguistiques à l’aide de mathématiques et de commentaires humains, en leur indiquant quelles réponses sont bonnes ou mauvaises. Ils atténuent les réponses incohérentes, étranges, biaisées ou tout simplement mauvaises. Ainsi, lorsque vous posez à ChatGPT une question telle que « Pouvez-vous me donner les prévisions météo pour New York sous la forme d’un sonnet shakespearien ? », il pourra vous donner une réponse (plus ou moins) cohérente.

Dans les milieux chrétiens, ces jeunes ingénieurs en IA sont couramment confrontés aux taquineries de leurs proches : tu construis quelque chose pour détruire l’humanité ? Quelque chose qui va me prendre mon travail ? Quelque chose qui sera plus grand que Dieu ?

C’est la raison pour laquelle il est essentiel pour eux de trouver des amis qui comprennent les pressions particulières liées à leur travail. Eastman reste, par exemple, en contact avec un mentor chrétien : Derek Schuurman, qui était son professeur d’informatique à l’université Redeemer de Hamilton, en Ontario. Cette petite université chrétienne d’arts libéraux offre une formation dans le domaine de l’IA, ce qui est assez inhabituel. C’est là qu’Eastman a compris que « cette technologie que nous construisons n’est pas neutre ». « Cela me semble évident, mais cela surprend parfois les ingénieurs non-croyants ou les ingénieurs chrétiens formés dans des institutions laïques… Nous insufflons des valeurs particulières à ces modèles. »

Pour pallier l’absence d’amis chrétiens dans son entourage professionnel, Eastman lit le livre que Schuurman a intitulé A Christian Field Guide to Technology for Engineers and Designers(« Un guide chrétien de la technologie à l’usage des ingénieurs et concepteurs »). Celui-ci, aujourd’hui professeur à l’université Calvin, y a rédigé un chapitre sous la forme d’une série de lettres imaginaires adressées à un jeune ingénieur. Il le met notamment en garde contre le fait de négliger le repos, d’être trop fier de projets prestigieux, de faire passer le travail avant ses amis et sa famille, et de tomber dans l’autosuffisance en raison d’une forte rémunération. Ces tendances n’apparaissent pas au début d’une carrière, dit-il, mais s’installent insidieusement :

N’oublie pas… que toute notre vie est une réponse à Dieu… Si la seigneurie du Christ s’étend sur toute la vie, alors sa seigneurie doit également s’étendre à l’ingénierie et à la technologie. Selon les mots du regretté professeur Lewis Smedes, nous sommes appelés à « aller dans le monde et à créer des modèles imparfaits du monde meilleur à venir ».  

A tech worker in Silicon Valley working at his computer at night.

Les ingénieurs que nous avons interrogés ne pensent pas qu’ils détruisent l’humanité, mais leur rythme de travail les confronte à leurs propres limites humaines. Ils souffrent d’épuisement professionnel, d’isolement et d’une culture d’entreprise impitoyable. Ils n’expérimentent pas vraiment d’hostilité envers leur foi de la part de leurs collègues, mais ne trouvent pas beaucoup d’autres chrétiens dans leur entourage.

Il y existe toutefois des communautés d’employés chrétiens. Richard Zhang, ingénieur chez Google DeepMind, a par exemple créé un collectif appelé Global Christians in AI, qui compte environ 250 membres. Il est en contact avec un autre chercheur de DeepMind qui espère lancer une étude biblique au travail.  

Mais le programmeur moyen n’est pas régulièrement en contact avec ce genre de possibilité. Malgré quelques gros titres sur le nouvel intérêt de certains dirigeants de la Silicon Valley pour les valeurs chrétiennes, les employés chrétiens sur le terrain n’ont pas l’impression d’y vivre un réveil de la foi. Ils aimeraient tous connaître davantage de personnes partageant leurs valeurs dans leur domaine, mais cela reste rare. Pour compenser, l’un d’eux fait régulièrement un jogging avec son pasteur et trouve que cela l’aide. D’autres essaient de rencontrer d’autres professionnels de la technologie dans leur église.

La foi est « encore un peu taboue » dans les entreprises technologiques, et cela pose un problème compte tenu de toutes les questions éthiques soulevées par l’IA, explique Hunter Guy, cofondatrice et PDG de Study Aloud, une entreprise spécialisée dans les technologies éducatives. Elle a accompagné des professionnels du secteur à la Progressive Baptist Church de Chicago. Lorsqu’ils ne sont pas d’accord avec un projet ou qu’ils se sentent épuisés, ils doivent se questionner : « À quel moment devrais-je m’arrêter ? » Pour y parvenir, les chrétiens doivent comprendre que « le sens de la vie ne s’arrête pas avec le travail. La vocation ne s’arrête pas avec le travail ».

Certains de ces ingénieurs ressentent malgré tout une vocation à rester dans ce domaine aussi longtemps que possible. Kenya Andrews, également membre de la Progressive Baptist Church, est une amie de Hunter Guy. En tant que femme noire, elle fait partie d’une minorité dans le domaine de l’ingénierie en IA.

Quand elle était petite, Andrews a construit un ordinateur à partir de rien avec son père. À l’adolescence, les gens venaient la voir pour les aider avec leur ordinateur. Elle a ensuite été la première de sa famille à obtenir un diplôme universitaire. Avant elle, ses parents avaient été les premiers à obtenir un diplôme d’études secondaires. Son grand-père paternel, métayer, et sa grand-mère paternelle, cuisinière et femme de ménage, avaient toujours insisté sur l’importance des études.

Andrews, 30 ans, a dépassé toutes leurs attentes : elle vient d’obtenir un doctorat en informatique à l’université de l’Illinois à Chicago. Pourtant, sous la pression liée à ses recherches de haut niveau en apprentissage automatique, elle avait envisagé d’abandonner son doctorat pour reprendre son ancien emploi d’ingénieure en informatique. Mais elle a persévéré parce qu’elle se sentait appelée par Dieu. Elle ne voulait ni décevoir sa famille ni abandonner des recherches auxquelles elle estimait pouvoir apporter une contribution unique.

Elle s’est lancée dans l’IA pour mener des recherches universitaires sur la justice dans les algorithmes ou, comme elle le dit elle-même, pour construire des machines qui traitent chaque être humain tel qu’il est vraiment. Les algorithmes déterminent tout, de la recherche d’un emploi à l’obtention d’une libération conditionnelle, en passant par l’accès aux soins de santé et l’éligibilité à un prêt hypothécaire. De plus en plus d’éléments prouvent que ces modèles sont construits à partir de données historiques préjudiciables aux minorités raciales. Un ingénieur d’une grande entreprise n’aura peut-être pas le temps de réfléchir à la façon dont un choix, apparemment insignifiant pour un modèle algorithmique, affectera des millions de personnes ; mais une chercheuse à l’université, comme Andrews, le prendra.

Sa thèse portait sur la manière dont les algorithmes extraient des données des dossiers médicaux pour prendre des décisions en matière de soins de santé. Pour elle, cela correspond bien au principe d’aimer son prochain comme soi-même. « La Bible parle beaucoup de justice […] de personnes qui n’avaient pas d’humanité auparavant et auxquelles [Jésus] donne maintenant cette humanité. », dit-elle, et elle ajoute : « Tout ce que je fais est motivé par mon désir d’honorer le Christ. Pour moi, il n’y a pas de cloisonnement. »

Malheureusement, en raison du climat politique américain, il devient difficile de trouver un soutien pour la recherche liée à la diversité. Andrews envisageait de postuler à une bourse des National Institutes of Health (NIH) mise en ligne au début de l’année. Deux semaines plus tard, cette bourse n’était plus proposée.

Comme la famille d’Andrews, les parents de Michael Shi sont ravis et fiers qu’il travaille dans le domaine de l’IA dans la Silicon Valley. Mais pour Shi, 31 ans, être actif dans ce domaine de pointe est très prenant et stressant. « Ce n’est pas un environnement sain sur le plan physique, émotionnel et spirituel », nous confie-t-il.

Il nous raconte que, sur un projet très important, la frustration entre lui et son équipe s’était intensifiée, provocant plusieurs explosions de colère. Le projet était en retard et il estimait que la qualité du travail était inférieure aux attentes. Parallèlement, différents membres de l’équipe se disputaient le pouvoir.

Shi dit avoir crié et tenu des propos durs à l’égard de ses collègues. Cet incident l’a amené à douter de sa foi. Il se demandait pourquoi il se sentait si en colère et pourquoi Dieu ne l’avait pas davantage fait évoluer. Un chrétien ne devrait pas réagir ainsi, pensait-il.

Tech workers board a night bus in Silicon Valley.

Shi a l’impression que ses amis de l’église ne peuvent pas vraiment comprendre ce qui se passe sur son lieu de travail et il ne connaît pas d’autres chrétiens dans le domaine de l’IA.

Face à ses difficultés, il réalise ne pas faire preuve de beaucoup de bienveillance envers les autres ; peut-être parce qu’il ne s’était pas donné lui-même l’espace nécessaire pour recevoir la grâce du Seigneur. « Je commence à réaliser que les attentes que j’ai envers moi-même ou que les autres ont envers moi ne sont pas les mêmes que celles de Dieu à mon égard. En fin de compte, Dieu prend avant tout plaisir à ma fidélité. »

Pour clarifier ses idées, Shi part marcher. Il suit un cours proposé par son pasteur sur les disciplines spirituelles. Mais il sait qu’il est épuisé.

D’un autre côté, Zhang, de Google DeepMind, craint que les ingénieurs chrétiens ne s’inquiètent trop de l’épuisement professionnel et qu’ils cessent de travailler dur. « La tension vient du fait que nous sommes appelés à l’excellence », dit-il. Dans une autre entreprise qu’il connaît, les chrétiens ont la réputation d’être paresseux. « C’est difficile de trouver l’équilibre. »

Une grande partie de l’épuisement croissant est lié au fait que le boom de l’IA est survenu peu après la pandémie de COVID-19, qui, selon les jeunes ingénieurs, les a isolés et a effacé les frontières entre leur vie professionnelle et leur vie privée.

Kucher, qui est ingénieur en IA depuis quelques années, a commencé ses études supérieures quelques semaines avant le début de la pandémie. Il s’est retrouvé assis seul dans une pièce, face aux cours sur Zoom et aux équations mathématiques sur son portable. Le travail était sans fin et il était difficile d’obtenir un soutien avisé. Selon lui, aujourd’hui, dans les start-ups, la plupart des semaines sont devenues des « mauvaises semaines ». « Le rythme y est complètement fou. »

Comme d’autres ingénieurs chrétiens, Kucher s’est lancé dans ce secteur parce qu’il voulait créer quelque chose qui aiderait les gens dans leur vie quotidienne. Une partie de ses travaux universitaires portait sur l’amélioration de l’imagerie médicale grâce à l’apprentissage automatique.

Il a quitté une entreprise dont le travail était purement axé sur le profit et travaille désormais dans une firme où il a le sentiment de participer à quelque chose de plus constructif. Pendant un an et demi, il a programmé une application de dialogue capable de rassembler instantanément des analyses de données qui auraient pris une semaine à un être humain. Mais il n’y a pas de répit en vue pour lui.

« Cela me fait mal de voir les choses auxquelles j’accorde beaucoup d’importance, comme le sport ou le bénévolat à l’église, s’éroder petit à petit, en fonction de la semaine que nous passons au travail », explique-t-il.

Kucher n’a toujours pas trouvé de mentor chrétien dans le domaine de l’IA. Mais il garde à l’esprit que son identité ne se résume pas à son travail. Et il se bat pour trouver du temps pour se reposer. « Je suis un enfant de Dieu », se dit-il. « J’ai de la valeur, j’ai une dignité, et je fais de mon mieux. »

Emily Belz est rédactrice en chef adjointe chez Christianity Today.

Traduit par Anne Haumont

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